Dans cette série d’articles sur Republike, le premier réseau social Web3 bâti sur le modèle Pay-To-Own, nous avons déjà évoqué la liberté d’expression comme l’une des valeurs centrales de sa Constitution. Cependant, une liberté d’expression totale peut entraîner bien des dérives. Il est donc important de garantir aussi la sécurité des utilisateurs de la plateforme. Republike propose un modèle innovant, basé sur des systèmes de modération et de récompense.
Le Journal du Coin vous propose cet article promotionnel en collaboration avec Republike.
Réseaux sociaux et sécurité
Aujourd’hui, la plupart des plateformes de réseaux sociaux limitent la liberté d’expression afin de garantir la sécurité de leurs utilisateurs. Les contenus publiés doivent correspondre à une charte bien précise. On parle par exemple des “Standards de la communauté” chez Facebook ou des “Règles communautaires sur Reddit”.
Tout d’abord, il s’agit évidemment de préserver les utilisateurs de tomber sur du contenu violent ou obscène. Les contenus ayant trait à l’exploitation humaine, au suicide, aux activités criminelles sont naturellement interdits. La sécurité de l’utilisateur passe également par la protection de sa vie privée, la lutte contre le harcèlement en ligne ou l’usurpation d’identité.
Ensuite, certains types de contenus sont sujets à des critères de modération plus subjectifs. C’est le cas des discours de haine ou ‘incitant à la haine”. Vient enfin le contenu erroné, les fameuses fake news. Il s’agit de prémunir l’utilisateur d’informations pouvant l’induire en erreur. Ce domaine est certainement celui où la censure peut s’exercer le plus facilement.
Dans ce domaine, le X d’Elon Musk, défenseur radical autoproclamé d’une liberté d’expression sans concession, est sujet à un flot de critiques. Beaucoup considèrent que ses règles de modération sont trop laxistes. Elles permettraient la propagation de propos haineux autant que de fake news.
L’art difficile de la modération
Il existe différents types et méthodes de modération. Certaines se basent sur les algorithmes et l’intelligence artificielle. Toutefois, l’être humain reste nécessaire dans ce processus. C’est notamment le cas de la modération réactive. Ainsi, les utilisateurs d’une plateforme signalent les contenus jugés inappropriés. Une équipe de spécialistes se charge alors d’examiner ces derniers.
Chaque réseau social a donc ses propres règles et méthodes, alliant pré-modération, post-modération, modération réactive, distribuée ou automatisée. Si ces standards permettent a priori de garantir la sécurité des utilisateurs, il semblerait qu’ils nuisent en revanche à la liberté d’expression.
Les réseaux sociaux ont beaucoup de mal à gérer la liberté d’expression sans tomber dans la censureC’est précisément la grande difficulté quand on traite de la liberté d’expression : où placer le curseur entre liberté d’expression et sécurité ?
éviter l’arbitraire ?
De nombreux utilisateurs de Facebook se plaignent par exemple de la censure sur la plateforme, notamment dans le domaine politique. Ce fut également le cas sur Twitter durant la campagne présidentielle américaine de 2020. Une tendance confirmée par plusieurs études , ou par l’affaire des Twitter Files . Quant à la sécurité des données utilisateur, le scandale Facebook-Cambridge Analytica est la preuve qu’elle n’était pas suffisante.
Dans le paradigme actuel, c’est essentiellement la nature des contenus publiés qui est étudiée pour déterminer si ceux-ci sont conformes aux règles d’utilisation des plateformes. Chaque plateforme a donc sa propre version de la liberté d’expression. D’un côté, certains utilisateurs se plaignent d’une trop forte censure, sur Youtube par exemple ou sur l’ancien Twitter. D’un autre, on déplore la violente jungle qu’est devenue Twitter/X depuis son rachat par Elon Musk, où la liberté d’expression très large entraîne des comportements toxiques.
La Constitution de Republike
Afin d’établir un bon équilibre entre liberté d’expression et sécurité sur la plateforme, Republike repose une approche radicalement différente qui privilégie l’identification de l’intention et l’évaluation du contexte émotionnel derrière un post plutôt que le contenu brut de celui-ci.
La constitution et la modération sont étroitement liés sur RepublikePour faire simple, on peut théoriquement en arriver à être violents entre fans de petits chiens et fans de petits chats si le contexte émotionnel ou l’intention ne sont pas sains. Pourtant, on peut tout autant – et Republike le démontre à plusieurs occasions – arriver à échanger entre individus ayant des positions politiques nettement opposées si l’intention et le contexte émotionnel sont bon.
Partons donc du postulat qu’il y aura toujours autant d’opinions que d’être humains. C’est en effet une caractéristique vraisemblablement inhérente à notre rapport au monde. Notre perception des choses est nécessairement sous l’influence de notre contexte et environnement personnel (culturel, familial, social, historique). La plateforme est donc conçue dans son design même pour permettre d’identifier ce contexte émotionnel. Si celui-ci est reconnu comme sain, alors tout contenu peut y avoir sa place.
Une base communautaire
La modération est effectuée par les utilisateurs de la plateforme elle-même. Cependant, contrairement aux systèmes de modération traditionnels, il ne s’agit pas d’analyser la nature du contenu pour déterminer sa viabilité. Il s’agit plutôt de juger de l’intention sous-jacente à sa publication. Ainsi, la Constitution de Republike repose sur un principe fondamental : “mindset over content” (l’état d’esprit est plus important que la nature du contenu).
C’est à l’aune de ce principe central, traduit dans divers éléments du design, que les utilisateurs effectuent la modération. Pour cela, il vont juger de l’intention qui se cache derrière la publication d’un contenu. Ce qui est banni, c’est la négativité : les trolls, les insultes, les attaques ad personam ou le harcèlement sont ainsi bien entendu proscrits.
Etat d’esprit et intention
Un contenu à l’intention positive, démontrant une volonté de participer à l’échange et aux discussions ne sera pas censuré. De plus, les utilisateurs attirant la curiosité en publiant du contenu inédit, original et créatif sont récompensés.
“Republike a été construit sur le principe que l’on peut parler de tout avec un état d’esprit sain et de rien avec un état d’esprit qui ne l’est pas.”
Republike
Cet extrait de la FAQ résume bien l’encadrement de la liberté d’expression sur Republike. Bien entendu, tous les contenus publiés doivent préalablement respecter la loi en vigueur. Passé ce filtre, c’est le mindset, l’état d’esprit, qui est au cœur de la conception du système de modération de Republike.
Les modérateurs de contenu sont donc garants de la sécurité des utilisateurs-propriétaires. Tous les utilisateurs qui le souhaitent peuvent participer au processus de modération. Lors du signalement d’un contenu, 7 d’entre eux sont sélectionnés aléatoirement par le système pour déterminer si l’état d’esprit de la publication est conforme à la Constitution.
Les modérateurs évaluent l’intention du contenu, votent et sont récompensés en fonction de la majorité.Afin d’éviter la collusion, ils ne se connaissent pas. Personne n’a intérêt à flouer le système car à l’issue de la décision, la majorité est récompensée en tokens $AURE.
Pour conclure, rappelons qu’une importante part de la sécurité d’un utilisateur d’un réseau social dépend de celle de ses données personnelles. Au-delà de la cybersécurité, le modèle proposé par Republike est révolutionnaire. Sur cette plateforme Pay-To-Own, l’utilisateur est propriétaire de ses données. Republike n’en collecte pas et s’inscrit farouchement contre la publicité ciblée. De même, l’utilisateur n’est plus victime des dictats de bulles algorithmiques qui lui proposent des contenus.
Si ce nouveau réseau social innovant vous intéresse, n’hésitez pas à vous inscrire ! A ce stade précoce du projet, vous pouvez également bénéficier des packs “Fondateur” , accessibles en édition limitée. Ils offrent de nombreux avantages dans les versions à venir ainsi que des jetons $AURE, en version bêta.